Mer 19 Juil - 7:51
Pour peu que vous n'ayez encore jamais visité Andoria, vous avez peine à croire à sa splendeur en la découvrant. La Ville Immaculée n'est pas aussi grande que Xandrie, ni aussi quadrillée qu'Opale, mais elle est certainement plus belle qu'aucune autre en Uhr. Qui que vous soyez, et puisque vous semblez venir de loin, vous n'avez pas vraiment la sensation d'être le bienvenus ici. Il faut dire qu'Andoria ne reçoit que peu de visites, malgré les histoires abracadabrantesques qui circulent à son sujet.
C'est d'ailleurs l'une de celles-ci qui a poussé Arvane à chercher, il y a quelques semaine en arrière, un archéologue émérite. Archéologue dont la ville est aujourd'hui sans nouvelles. Si vous arpentez aujourd'hui les rues éclatante d'Andoria, c'est pour rencontrer Arvane. L'annonce qui guide vos pas est assez succincte. Vous savez simplement que vous devez vous rendre devant la Citadelle. C'est là qu'il vous attend. Arvane n'est pas un homme. C'est un élémentaire de terre civilisé. Ce n'est ni le premier, ni le dernier que vous croisez à Andoria. Son corps imposant est semblable aux roches calcaires des Monts environnants, sa carrure lui donne l'air aussi immuable que le plus haut des pics et son visage anguleux n'a rien de vraiment rassurant.
Il vous observe de loin. Ses yeux - deux abcès dans la roche claire qui habille son visage - ne trahissent pas le moindre signe d'espoir, ni d'aucune autre forme d'émotions. L'homme-montagne vous attend, aussi patiemment que la montagne attend le vent.
C'est d'ailleurs l'une de celles-ci qui a poussé Arvane à chercher, il y a quelques semaine en arrière, un archéologue émérite. Archéologue dont la ville est aujourd'hui sans nouvelles. Si vous arpentez aujourd'hui les rues éclatante d'Andoria, c'est pour rencontrer Arvane. L'annonce qui guide vos pas est assez succincte. Vous savez simplement que vous devez vous rendre devant la Citadelle. C'est là qu'il vous attend. Arvane n'est pas un homme. C'est un élémentaire de terre civilisé. Ce n'est ni le premier, ni le dernier que vous croisez à Andoria. Son corps imposant est semblable aux roches calcaires des Monts environnants, sa carrure lui donne l'air aussi immuable que le plus haut des pics et son visage anguleux n'a rien de vraiment rassurant.
Il vous observe de loin. Ses yeux - deux abcès dans la roche claire qui habille son visage - ne trahissent pas le moindre signe d'espoir, ni d'aucune autre forme d'émotions. L'homme-montagne vous attend, aussi patiemment que la montagne attend le vent.