Ven 8 Déc - 17:02
Elledrine Brightwidge-Dalmesca
Aramila / Noble
- 45 ans / 1855
- Humaine / Femme
- Opale
- Hétérosexuelle / Elle
- Archéologue - Cartographe
- Katherine Eubank (Arkham)
Description
Lady Brightwidge-Dalmesca est une dame du monde. On devine aisément sa noble orgine Opalienne à ses manières distinguées et à sa répartie aiguisée. On perçoit néanmoins une simplicité choisie et ce qui marque davantage est son intellect dévorant et sans réplique. Elle reste néanmoins d’un caractère tempéré.
Elle est fascinée par les anciennes civilisations, et non motivée à l’idée mercantiliste de dépouiller leurs secrets pour les breveter – elle laisse cela à ses semblables et sa famille d’Opale - mais par amour véritable du savoir.
Il s’agit d’une intellectuelle complète qui ne se limite pas au champ de sa principale spécialité, au détriment de sa vie sociale et familiale. Le manque de reconnaissance de ses travaux est encore ce qui la blesse le plus.
Si on la voit souvent engoncée en robes et en chapeaux à plumes, lorsqu’elle part en expédition ou en fouilles, soit dès que possible, elle troque ses habits féminins pour une tenue d’exploratrice plus confortable. Ses ongles courts et le peu d’artifice utilisés en maquillage vous renseigneront sur ses habitudes de voyage, si ce n'est son teint clair qu'elle protège avec assiduité. Bien qu’elle ne soit pas une athlète, beaucoup seront surpris par sa pugnacité à porter son sac seule sans aide extérieure sur un terrain à fort dénivelé. Face à un attaquant, elle saura laisser les porte-flingues se battre pendant qu’elle rassemble ses précieux échantillons et manuscrits, mais celui qui la pousse dans ses retranchements ne doit pas s’attendre à la voir abandonner le terrain sans combattre au fusil retranchée derrière une barricade, en compagnie de Farouk, son homme de main qui l'accompagne partout.
Quelques compulsions sauteront aux yeux de ceux qui sauront se montrer plus attentifs que la moyenne. D’une obsession maladive pour le rangement et l’organisation, ses dossiers sont hiérarchisés de manière surnaturelle et elle ne saurait débuter sa journée si la chaise ou le porteplume n’est pas placé exactement où elle les met toujours au millimètre près. Si bien que son bureau est interdit d’accès aux domestiques.
Elle a aussi ses petites superstitions incontournables avant d’entrer sur un site archéologique ou de commencer des prélèvements, qui sauront finalement plaire à ses concitoyens d’adoption aramilane comme gestes apparents de piété, quoique insolites. Les pontes de l’Église sont plus agacés qu’autres chose par la correspondance nombreuse dont elle les harcèle en vue d’évolutions sociétales.
N'en reste pas moins que cette personnalité forte est esseulée et déracinée.
Retenez que c’est une femme de tête et de convictions. Elle peut accepter des pertes au nom de ses valeurs et même s’entêter contre toutes les circonstances. Mais n’est-ce pas ainsi qu’une femme et un mouton noir parviennent à faire leur trou dans un monde hostile ?
Elle est fascinée par les anciennes civilisations, et non motivée à l’idée mercantiliste de dépouiller leurs secrets pour les breveter – elle laisse cela à ses semblables et sa famille d’Opale - mais par amour véritable du savoir.
Il s’agit d’une intellectuelle complète qui ne se limite pas au champ de sa principale spécialité, au détriment de sa vie sociale et familiale. Le manque de reconnaissance de ses travaux est encore ce qui la blesse le plus.
Si on la voit souvent engoncée en robes et en chapeaux à plumes, lorsqu’elle part en expédition ou en fouilles, soit dès que possible, elle troque ses habits féminins pour une tenue d’exploratrice plus confortable. Ses ongles courts et le peu d’artifice utilisés en maquillage vous renseigneront sur ses habitudes de voyage, si ce n'est son teint clair qu'elle protège avec assiduité. Bien qu’elle ne soit pas une athlète, beaucoup seront surpris par sa pugnacité à porter son sac seule sans aide extérieure sur un terrain à fort dénivelé. Face à un attaquant, elle saura laisser les porte-flingues se battre pendant qu’elle rassemble ses précieux échantillons et manuscrits, mais celui qui la pousse dans ses retranchements ne doit pas s’attendre à la voir abandonner le terrain sans combattre au fusil retranchée derrière une barricade, en compagnie de Farouk, son homme de main qui l'accompagne partout.
Quelques compulsions sauteront aux yeux de ceux qui sauront se montrer plus attentifs que la moyenne. D’une obsession maladive pour le rangement et l’organisation, ses dossiers sont hiérarchisés de manière surnaturelle et elle ne saurait débuter sa journée si la chaise ou le porteplume n’est pas placé exactement où elle les met toujours au millimètre près. Si bien que son bureau est interdit d’accès aux domestiques.
Elle a aussi ses petites superstitions incontournables avant d’entrer sur un site archéologique ou de commencer des prélèvements, qui sauront finalement plaire à ses concitoyens d’adoption aramilane comme gestes apparents de piété, quoique insolites. Les pontes de l’Église sont plus agacés qu’autres chose par la correspondance nombreuse dont elle les harcèle en vue d’évolutions sociétales.
N'en reste pas moins que cette personnalité forte est esseulée et déracinée.
Retenez que c’est une femme de tête et de convictions. Elle peut accepter des pertes au nom de ses valeurs et même s’entêter contre toutes les circonstances. Mais n’est-ce pas ainsi qu’une femme et un mouton noir parviennent à faire leur trou dans un monde hostile ?
Habiletés et pouvoirs
Archéologue : depuis l’enfance, Lady Brightwidge n’a d’yeux que pour la poussière des ruines, les légendes de la forêt de Jade et des brumes des océans. On a lutté pour la forcer à s’intéresser à l’industrie et au mariage sans grand succès. Elle dévorait méthodiquement les ouvrages et a suivi chaque rebondissement sur les découvertes de l’ancien monde à la loupe, quand elle ne faisait pas simplement partie des experts y ayant participé. C'est une vétérante de Brume, même si elle intervient souvent en terrain balisée ou après les premiers éclaireurs.
Malgré sa présence récurrente à Dainsbourg, c’est pour son immersion au sein de l'essaim de Banshee des Spectres de Vendune d’Aramila et son traité sur l’ancien Royaume Nain qu’elle s’est fait connaître. Une certaine misogynie semble à l’œuvre dans le monde académique, qui plagie parfois ostensiblement ses travaux sans citer de sources dans un but d'invisibilisation. Elle est encore en quête de la découverte qui gravera à jamais son nom dans la discipline. Même si c’est un rêve dément, elle meurt d’envie de participer à une expédition à Zanobi ou Padra, qui sait, grâce à des Zeppelin de haute autonomie énergétique et maintes balises.
Carthographe : Adhra est si vaste et si méconnue. Les cartes retrouvées récemment sont datées et il faut bien des experts à la minutie obsessionnelle pour rebâtir des tracets sûrs et actualisés, sur la base de relevés topographiques couplés aux archives historiques afin de repérer au mieux les sites prometteurs pour de prochaines fouilles et les chemins d’accès les plus sécurisés.
Polyglotte : Lady Brighwidge-Dalmesca n’est pas à proprement parler linguiste, mais sa passion pour l’anthropologie et l’archéologie conduit invariablement vers l’étude des langues. Elle a fini par se faire au dialecte aramilan. Elle manie évidemment le Sanctain, étude d’Urh sous le règne de l’Eglise oblige, son gobelin est un peu erratique et elle n'a que de menus rudiments en nanique. En revanche, elle manie raisonnablement le vieil Urhois à l’écrit et vraiment bien l’ancien Yféen.
Obstinée : Quand la chercheuse flaire une découverte exaltante, rien ne peut la détourner de sa fièvre. Ni les remontrances de l’Eglise, ni les supplications discrètes de son mari, ni le manque de moyens, le rassemblement difficile du corps d’expédition ou l’accès à un site lointain envahi par la Brume et les prédateurs. Quand on lui demande de renoncer, elle concède parfois un oui, mais cela veut dire non.
Subterfuge : Elledendrine a été très tôt exposée au panier de crabe opalien. Héritière en tête de la ligne succession de l’empire Brightwidge, on l’a placardisé sans ménagement. Elle a baigné malgré elle dans les répugnants complots et les bassesses du pouvoir, les menaces, les meurtres pour le profit. Et elle n’est donc dupe de rien, surtout venant de ses frères et sœurs. Son maniement du paraître vise à la présenter comme plus sotte et déconnectée des enjeux qu’elle ne l’est vraiment. Bien qu’en grande partie marginalisée des jeux de pouvoirs opaliens, elle conserve encore des contacts, un ou deux soutiens familiaux, des parts d’actions et son mot à dire dans certaines décisions de firme. N’ayant pas de goût pour ces bisbilles, elle est souvent représentée par un mandataire complaisant, mais saurait mordre si l’envie lui en prenait du fond de sa cambrousse aramilane où on la croit exilée.
Fidèle homme de main : Farouk est un homme du désert. Noir de peau et balèze, il est assez mutique. Ellendrine l'a rencontré lors de son exil à Aramila, depuis, leurs chemins sont inextricablement lié. Il est le pilier sur lequel elle s'appuie dans son travail et le bras qui la protège.
Des trésors dans le cabas : Pour mener sa vie de recherches aventureuses, Ellendrine s'est dotée d'un fusil, qu'elle n'emporte qu'en voyage ou sur ses sites de fouilles, ainsi que d'un pistolet deux-coups, qu'elle ne porte pas à Aramila, mais dans les contextes mondains plus venimeux d'Opale. Elle détient un nascent offert par le patriarche Brightwidge comme cadeau de mariage : une loupe en laiton et au manche de bois équipée d'un cristal de vision thermique.
Malgré sa présence récurrente à Dainsbourg, c’est pour son immersion au sein de l'essaim de Banshee des Spectres de Vendune d’Aramila et son traité sur l’ancien Royaume Nain qu’elle s’est fait connaître. Une certaine misogynie semble à l’œuvre dans le monde académique, qui plagie parfois ostensiblement ses travaux sans citer de sources dans un but d'invisibilisation. Elle est encore en quête de la découverte qui gravera à jamais son nom dans la discipline. Même si c’est un rêve dément, elle meurt d’envie de participer à une expédition à Zanobi ou Padra, qui sait, grâce à des Zeppelin de haute autonomie énergétique et maintes balises.
Carthographe : Adhra est si vaste et si méconnue. Les cartes retrouvées récemment sont datées et il faut bien des experts à la minutie obsessionnelle pour rebâtir des tracets sûrs et actualisés, sur la base de relevés topographiques couplés aux archives historiques afin de repérer au mieux les sites prometteurs pour de prochaines fouilles et les chemins d’accès les plus sécurisés.
Polyglotte : Lady Brighwidge-Dalmesca n’est pas à proprement parler linguiste, mais sa passion pour l’anthropologie et l’archéologie conduit invariablement vers l’étude des langues. Elle a fini par se faire au dialecte aramilan. Elle manie évidemment le Sanctain, étude d’Urh sous le règne de l’Eglise oblige, son gobelin est un peu erratique et elle n'a que de menus rudiments en nanique. En revanche, elle manie raisonnablement le vieil Urhois à l’écrit et vraiment bien l’ancien Yféen.
Obstinée : Quand la chercheuse flaire une découverte exaltante, rien ne peut la détourner de sa fièvre. Ni les remontrances de l’Eglise, ni les supplications discrètes de son mari, ni le manque de moyens, le rassemblement difficile du corps d’expédition ou l’accès à un site lointain envahi par la Brume et les prédateurs. Quand on lui demande de renoncer, elle concède parfois un oui, mais cela veut dire non.
Subterfuge : Elledendrine a été très tôt exposée au panier de crabe opalien. Héritière en tête de la ligne succession de l’empire Brightwidge, on l’a placardisé sans ménagement. Elle a baigné malgré elle dans les répugnants complots et les bassesses du pouvoir, les menaces, les meurtres pour le profit. Et elle n’est donc dupe de rien, surtout venant de ses frères et sœurs. Son maniement du paraître vise à la présenter comme plus sotte et déconnectée des enjeux qu’elle ne l’est vraiment. Bien qu’en grande partie marginalisée des jeux de pouvoirs opaliens, elle conserve encore des contacts, un ou deux soutiens familiaux, des parts d’actions et son mot à dire dans certaines décisions de firme. N’ayant pas de goût pour ces bisbilles, elle est souvent représentée par un mandataire complaisant, mais saurait mordre si l’envie lui en prenait du fond de sa cambrousse aramilane où on la croit exilée.
Fidèle homme de main : Farouk est un homme du désert. Noir de peau et balèze, il est assez mutique. Ellendrine l'a rencontré lors de son exil à Aramila, depuis, leurs chemins sont inextricablement lié. Il est le pilier sur lequel elle s'appuie dans son travail et le bras qui la protège.
Des trésors dans le cabas : Pour mener sa vie de recherches aventureuses, Ellendrine s'est dotée d'un fusil, qu'elle n'emporte qu'en voyage ou sur ses sites de fouilles, ainsi que d'un pistolet deux-coups, qu'elle ne porte pas à Aramila, mais dans les contextes mondains plus venimeux d'Opale. Elle détient un nascent offert par le patriarche Brightwidge comme cadeau de mariage : une loupe en laiton et au manche de bois équipée d'un cristal de vision thermique.
Biographie
Il n’est pas facile d’être l’aînée Brightwidge. Convoitise, pièges et tourments vous attendent. Née en 1855, l’enfant désespérait un peu par son éthique scrupuleuse et son sens de l’observation tourné vers les disciplines inutiles : comme l’histoire et tout ce qui avait trait au passé. Au lieu de se tourner vers la gloire et la Lumière d’Opale en ouvrant de nouvelles routes commerciales et en inféodant d’autres familles secondaires à la sienne par le mariage et le chantage.
1870 : la chute de Dainsbourg est un coup de massue sur l’ordre établi et tout à coup ses passions ont un peu plus le vent en poupe. On la harcèle moins. Peut-être que son érudition permettra finalement de faire briller un peu son patronyme, surtout si elle consent à un mariage avantageux avec une famille rivale.
1873 : Ellendrine en est à son deuxième refus de demande en mariage. Après avoir éconduit Dio Cassandre, qui n’était pas plus épris qu’elle, elle vient de commettre un camouflet envers la famille Ozwinfeld en refusant publiquement la demande de son fils, devant leurs aînés respectifs. Oncles, tantes, cousins, frères et sœurs partagent une acrimonie commune envers cette gourde entêtée qui refuse de faire son devoir envers sa Patrie et les aînés en facilitant le commerce d’opioïdes à travers l’Enclave. Son père la gifle et refuse sa demande d’intégrer la guilde des Aventuriers.
1874 : Ellendrine réchappe par chance à une tentative d’empoisonnement, dont elle ne découvrira que plus tard qu’elle était menée par ses propres frères et sœurs afin d’accéder à la première place de la ligne de succession.
1876 : Ellendrine commet une alliance de circonstance avec Vladimir Von Arendt, qui accepte de la protéger de sa fratrie principalement pour faire un pied de nez aux Brightwidge. Secondairement, par égard pour l’esprit flamboyant de cette scientifique en devenir qui poursuit ses études envers et contre tout. Elle n'a jamais été dupe du danger d'avoir une dette envers ce personnage, mais elle n'avait pas le choix.
1877 : Sous ce premier patronage, Ellendrine mène sa première expédition à Aramila, en immersion durant un an dans la horde de Banshee locale.
1879 : Alors qu’elle continue ses recherches sur l’ancien royaume Nain, le patriarche la déchoie de son testament. Elle conserve ses titres, sa fortune, un navire et des actions dans l’entreprise familiale, mais ne pourra plus prétendre à le remplacer.
1880 – 1888 : Ellendrine n’a désormais plus d’obstacle pour vaquer à ses occupations de chercheuse puisque sa famille se désintéresse beaucoup de ses va-et-vient et la tourne en ridicule à la première occasion par rancune ou jalousie. Elle participe à deux expéditions à Dainsbourg de l’Alliance et en organise une troisième en coalisant ses efforts avec une grande fortune d’Epistopoli, trompant ceux qui croyaient qu’elle se casserait les dents sans le soutien de sa famille.
1889 : Une forme de paix est trouvée avec son Père. Elle consent à contre-cœur de se marier avec un petit notable Aramilan : Pietro Dalmesca, tribun d’Etyr. En échange de la restauration de cette route commerciale dont la famille aurait l’exclusivité vers Aramila, le clan Brightwidge promet de cesser les hostilités envers elle. Elle accepte car le personnage mystérieux lui promet son indépendance morale et intellectuelle. La pression sociale opaline devenait quelque peu pesante pour sa personnalité excentrique. Comme cadeau d’apaisement, son père lui remet un nascent, une loupe pourvue du pouvoir de vision thermique afin de l’aider dans ses recherches.
1890 : Mariée à 35 ans à un homme de dix ans son cadet dans un cadre sobre et modeste face aux archevêques d’Aramila et aux aînés de sa famille, l’intégration d’Ellendrine est difficile. Elle respecte les croyances de son peuple d’accueil, quoiqu’elle les juge parfois absurde et comme manquant un peu d’actualité. C'est à travers la rencontre de Farouk qui deviendra son homme de main qu'elle apprend à connaître et à aimer cette culture. Elle admire en fait la solidarité et la sincérité bienveillante qu’ils manifestent dans l’ensemble. Mais, sa différence est un peu plus marginalisée en retour. On l’évite principalement avec politesse.
1890-1995 : Elledrine se perd dans l’étude de sa nouvelle patrie et des coutumes Aramilane et finit par donner naissance à deux garçons et une petite fille pour honorer son mari. Cela lui vaut une baisse de la suspicion dans le regard du peuple d’Etyr et de la capitale.
Il est cependant clair depuis le début qu’elle n’a pas l’instinct maternel, que ses grossesses renforcent ses humeurs et se vivent dans une panique totale. Elle s’évertue à prendre soin de ses enfants, à ce qu’ils ne manquent de rien, ni d’ouverture à la culture scientifique autant que faire se peut. Mais bien, vite, elle se remet à passer plus de la moitié de l’année en voyage, très loin d’Etyr et Aramila.
1895-1899
Son couple n’a jamais été unie par une passion dévorante, mais la courtoisie se transforme en affection et en respect mutuel. Pietro protège Ellendrine des ragots ou des notables qui voudraient court-circuiter ses recherches à la racine. Il lui assure à de nombreuses reprises un accès aux archives du Concile des fins de recherches. C’est à ce moment-là qu’un ecclésiaste lui fit découvrir les textes d’Ader'hazak, sur le Cincum, dont elle prit de nombreuses notes et citation.
En retour, elle prodigue à Pietro des conseils dans le but de soutenir ses ambitions personnelles d’ascension politique.
1900 : la découverte officielle du kobolisme et de la religion alrune la convainc de sortir de son agnosticisme et de rejoindre secrètement les intérêts du Cincum pour une réconciliation de la science et de la spiritualité. Elle ne sait comment son mari ou les élites réagiraient s’ils apprenaient les convictions de l’Opalienne. Il est certain que ses recherches vont s’orienter de plus en plus vers l’établissement de parallèle entre l’Enclave et l’histoire des ancêtres d’Adhra et des Second-qui-vinrent.
11 Urh 1900 : Lady Brightwidge-Dalmesca revient dans sa cité natale pour la première fois depuis trois ans. Elle accompagne ainsi son mari Pietro en démontrant le couple soudé qu’ils forment en dépit des mauvaises langues et arrachent quelques grimaces à sa famille en réclamant son siège parmi les familles des Sept.
Durant l’attentat menée par Yodicaëlle et le 13ème Cercle, elle est blessée par balle au bras par un terroriste. Elle serait sans doute morte si sa sœur cadette ne l’avait pas sauvé à sa grande stupéfaction en prenant une balle à sa place. Elle est ensuite victime du mouvement de panique et piétinée, ne réussissant à survivre que grâce au chaos ambiant en se ramassant sous l’un des grand sièges et derrière le corps de sa sœur Darya, qu'elle vit expirer. C’est son beau-frère Arno qui viendra à sa rescousse…
1870 : la chute de Dainsbourg est un coup de massue sur l’ordre établi et tout à coup ses passions ont un peu plus le vent en poupe. On la harcèle moins. Peut-être que son érudition permettra finalement de faire briller un peu son patronyme, surtout si elle consent à un mariage avantageux avec une famille rivale.
1873 : Ellendrine en est à son deuxième refus de demande en mariage. Après avoir éconduit Dio Cassandre, qui n’était pas plus épris qu’elle, elle vient de commettre un camouflet envers la famille Ozwinfeld en refusant publiquement la demande de son fils, devant leurs aînés respectifs. Oncles, tantes, cousins, frères et sœurs partagent une acrimonie commune envers cette gourde entêtée qui refuse de faire son devoir envers sa Patrie et les aînés en facilitant le commerce d’opioïdes à travers l’Enclave. Son père la gifle et refuse sa demande d’intégrer la guilde des Aventuriers.
1874 : Ellendrine réchappe par chance à une tentative d’empoisonnement, dont elle ne découvrira que plus tard qu’elle était menée par ses propres frères et sœurs afin d’accéder à la première place de la ligne de succession.
1876 : Ellendrine commet une alliance de circonstance avec Vladimir Von Arendt, qui accepte de la protéger de sa fratrie principalement pour faire un pied de nez aux Brightwidge. Secondairement, par égard pour l’esprit flamboyant de cette scientifique en devenir qui poursuit ses études envers et contre tout. Elle n'a jamais été dupe du danger d'avoir une dette envers ce personnage, mais elle n'avait pas le choix.
1877 : Sous ce premier patronage, Ellendrine mène sa première expédition à Aramila, en immersion durant un an dans la horde de Banshee locale.
1879 : Alors qu’elle continue ses recherches sur l’ancien royaume Nain, le patriarche la déchoie de son testament. Elle conserve ses titres, sa fortune, un navire et des actions dans l’entreprise familiale, mais ne pourra plus prétendre à le remplacer.
1880 – 1888 : Ellendrine n’a désormais plus d’obstacle pour vaquer à ses occupations de chercheuse puisque sa famille se désintéresse beaucoup de ses va-et-vient et la tourne en ridicule à la première occasion par rancune ou jalousie. Elle participe à deux expéditions à Dainsbourg de l’Alliance et en organise une troisième en coalisant ses efforts avec une grande fortune d’Epistopoli, trompant ceux qui croyaient qu’elle se casserait les dents sans le soutien de sa famille.
1889 : Une forme de paix est trouvée avec son Père. Elle consent à contre-cœur de se marier avec un petit notable Aramilan : Pietro Dalmesca, tribun d’Etyr. En échange de la restauration de cette route commerciale dont la famille aurait l’exclusivité vers Aramila, le clan Brightwidge promet de cesser les hostilités envers elle. Elle accepte car le personnage mystérieux lui promet son indépendance morale et intellectuelle. La pression sociale opaline devenait quelque peu pesante pour sa personnalité excentrique. Comme cadeau d’apaisement, son père lui remet un nascent, une loupe pourvue du pouvoir de vision thermique afin de l’aider dans ses recherches.
1890 : Mariée à 35 ans à un homme de dix ans son cadet dans un cadre sobre et modeste face aux archevêques d’Aramila et aux aînés de sa famille, l’intégration d’Ellendrine est difficile. Elle respecte les croyances de son peuple d’accueil, quoiqu’elle les juge parfois absurde et comme manquant un peu d’actualité. C'est à travers la rencontre de Farouk qui deviendra son homme de main qu'elle apprend à connaître et à aimer cette culture. Elle admire en fait la solidarité et la sincérité bienveillante qu’ils manifestent dans l’ensemble. Mais, sa différence est un peu plus marginalisée en retour. On l’évite principalement avec politesse.
1890-1995 : Elledrine se perd dans l’étude de sa nouvelle patrie et des coutumes Aramilane et finit par donner naissance à deux garçons et une petite fille pour honorer son mari. Cela lui vaut une baisse de la suspicion dans le regard du peuple d’Etyr et de la capitale.
Il est cependant clair depuis le début qu’elle n’a pas l’instinct maternel, que ses grossesses renforcent ses humeurs et se vivent dans une panique totale. Elle s’évertue à prendre soin de ses enfants, à ce qu’ils ne manquent de rien, ni d’ouverture à la culture scientifique autant que faire se peut. Mais bien, vite, elle se remet à passer plus de la moitié de l’année en voyage, très loin d’Etyr et Aramila.
1895-1899
Son couple n’a jamais été unie par une passion dévorante, mais la courtoisie se transforme en affection et en respect mutuel. Pietro protège Ellendrine des ragots ou des notables qui voudraient court-circuiter ses recherches à la racine. Il lui assure à de nombreuses reprises un accès aux archives du Concile des fins de recherches. C’est à ce moment-là qu’un ecclésiaste lui fit découvrir les textes d’Ader'hazak, sur le Cincum, dont elle prit de nombreuses notes et citation.
En retour, elle prodigue à Pietro des conseils dans le but de soutenir ses ambitions personnelles d’ascension politique.
1900 : la découverte officielle du kobolisme et de la religion alrune la convainc de sortir de son agnosticisme et de rejoindre secrètement les intérêts du Cincum pour une réconciliation de la science et de la spiritualité. Elle ne sait comment son mari ou les élites réagiraient s’ils apprenaient les convictions de l’Opalienne. Il est certain que ses recherches vont s’orienter de plus en plus vers l’établissement de parallèle entre l’Enclave et l’histoire des ancêtres d’Adhra et des Second-qui-vinrent.
11 Urh 1900 : Lady Brightwidge-Dalmesca revient dans sa cité natale pour la première fois depuis trois ans. Elle accompagne ainsi son mari Pietro en démontrant le couple soudé qu’ils forment en dépit des mauvaises langues et arrachent quelques grimaces à sa famille en réclamant son siège parmi les familles des Sept.
Durant l’attentat menée par Yodicaëlle et le 13ème Cercle, elle est blessée par balle au bras par un terroriste. Elle serait sans doute morte si sa sœur cadette ne l’avait pas sauvé à sa grande stupéfaction en prenant une balle à sa place. Elle est ensuite victime du mouvement de panique et piétinée, ne réussissant à survivre que grâce au chaos ambiant en se ramassant sous l’un des grand sièges et derrière le corps de sa sœur Darya, qu'elle vit expirer. C’est son beau-frère Arno qui viendra à sa rescousse…
Ellendrine : "Je n'aime pas les gens qui se rongent les ongles et ne connaissent pas leur déclinaison en latin" / Elle
Assez disponible en règle générale (parfois tendance à disparaître en yoyo mais je préviens), toujours partante pour aller fouiller en intrigue et en event. Même pas peur si tu arrives vénère, Ellendrine s'en va t'apprendre la grammaire.