Dim 3 Déc - 22:03
Kailan Eldoris
Epistopoli / Novice dans le gang des ferrailleurs
- 18 ans
- Triton / Femme
- Renon
- Ne s’est jamais posée la question / Elle
- Novice dans le gang des ferrailleurs (ancienne voleuse des rues)
- Feat Nobara Kugisaki (Jujutsu Kaisen)
Description
Kailan - mais elle préfère qu’on l’appelle Kai - a des cheveux plutôt courts et châtains, principalement parce qu’elle trouve les cheveux longs gênants. Ses yeux sont marrons, son nez long et droit et ses lèvres sont fines. Sa peau blanche est striée d’écailles le long de son corps, comporte nageoires et branchies, mais puisqu’elle cache sa peau sous des vêtements longs, cela ne se remarque que rarement. En plus de ces attributs de triton, Kailan a aussi récolté diverses cicatrices de ses larcins et combats précédents. Son corps est élancé, légèrement musclé, marqué pour la vitesse et l’agilité plutôt que pour la force. Son apparence encore adolescente, elle en joue pendant qu’elle le peut encore, feignant l’innocence avec de grands yeux expressifs lorsque cela peut lui éviter certains problèmes avec les autorités.
Concernant sa personnalité, Kailan est de nature observatrice et réfléchie, même s’il arrive que l’émotion l’emporte sur son sang froid. Elle a un comportement et une attitude qui paraissent bourrues en premier lieu, mais cela est une attitude de façade pour ne pas être écrasée par l’adversité. Kai sait tendre la main à ceux dans le besoin, surtout lorsqu’il s’agit de ses amis ou des jeunes perdus dans les bas quartiers d’Epistopoli. Elle estime devoir user de moyens illégaux pour s’en sortir, mais si elle pouvait s’en passer et se passer de violence pour accomplir ses objectifs, elle aurait choisi une autre voie. Kai aime l’argent, sans en être avare, parce qu’il sert à ses objectifs. Elle se rêve riche et rêve de partager son succès avec ceux qu’elle considère comme les siens. Elle souhaiterait aussi être plus coquette, mais la réalité de son existence actuelle l’en empêche.
Quand la vie à Epistopoli l'étouffe, elle prend quelques affaires et part voyager pour se changer les idées. Les fonds marins lui permettent de s’évader loin de la vie grouillante, et les créatures marines, pour la majorité inoffensives, la fascinent. Et quand ce ne sont pas les lacs, les rivières, les fleuves ou la mer, c’est la terre qu’elle arpente, en quête de villes plus petites, de contrées différentes, et même visiter les autres nations quand elle le peut.
Concernant sa personnalité, Kailan est de nature observatrice et réfléchie, même s’il arrive que l’émotion l’emporte sur son sang froid. Elle a un comportement et une attitude qui paraissent bourrues en premier lieu, mais cela est une attitude de façade pour ne pas être écrasée par l’adversité. Kai sait tendre la main à ceux dans le besoin, surtout lorsqu’il s’agit de ses amis ou des jeunes perdus dans les bas quartiers d’Epistopoli. Elle estime devoir user de moyens illégaux pour s’en sortir, mais si elle pouvait s’en passer et se passer de violence pour accomplir ses objectifs, elle aurait choisi une autre voie. Kai aime l’argent, sans en être avare, parce qu’il sert à ses objectifs. Elle se rêve riche et rêve de partager son succès avec ceux qu’elle considère comme les siens. Elle souhaiterait aussi être plus coquette, mais la réalité de son existence actuelle l’en empêche.
Quand la vie à Epistopoli l'étouffe, elle prend quelques affaires et part voyager pour se changer les idées. Les fonds marins lui permettent de s’évader loin de la vie grouillante, et les créatures marines, pour la majorité inoffensives, la fascinent. Et quand ce ne sont pas les lacs, les rivières, les fleuves ou la mer, c’est la terre qu’elle arpente, en quête de villes plus petites, de contrées différentes, et même visiter les autres nations quand elle le peut.
Habiletés et pouvoirs
Branchies : à l’aise sous l’eau, y respire et y vit librement. Elle se sert de cette aptitude de naissance pour récupérer au fond des eaux les pièces qui pourraient se revendre à bon prix.
Agilité et rapidité : courir dans les rues pour fuir les autorités l’a rendu agile et rapide depuis son enfance. Aussi, en dehors des situations de danger, elle fait en sorte d’entretenir ses aptitudes physiques.
Débrouillardise : vivre dans la rue lui a appris à se débrouiller d'elle-même plus tôt que prévu. Elle connaît déjà quelques astuces de la vie dans les bas fonds, et sait réparer certains appareils, mais cela reste des connaissances basiques.
Puppy eyes : attaque de grands yeux expressifs pour prétendre l'innocence et tromper les autorités, ou ceux qu'elle vole.
Barre de fer : non, elle ne peut pas tout faire avec, mais elle peut se défendre avec un swing bien maîtrisé. Mais même si elle semble d’apparence brutale, Kai n’aime pas user de la violence. Elle ne s’en sert qu’en dernier recours, en légitime défense, ou pour défendre l’un des siens. Elle la porte attachée à son dos ou à sa ceinture, selon son humeur du jour.
Agilité et rapidité : courir dans les rues pour fuir les autorités l’a rendu agile et rapide depuis son enfance. Aussi, en dehors des situations de danger, elle fait en sorte d’entretenir ses aptitudes physiques.
Débrouillardise : vivre dans la rue lui a appris à se débrouiller d'elle-même plus tôt que prévu. Elle connaît déjà quelques astuces de la vie dans les bas fonds, et sait réparer certains appareils, mais cela reste des connaissances basiques.
Puppy eyes : attaque de grands yeux expressifs pour prétendre l'innocence et tromper les autorités, ou ceux qu'elle vole.
Barre de fer : non, elle ne peut pas tout faire avec, mais elle peut se défendre avec un swing bien maîtrisé. Mais même si elle semble d’apparence brutale, Kai n’aime pas user de la violence. Elle ne s’en sert qu’en dernier recours, en légitime défense, ou pour défendre l’un des siens. Elle la porte attachée à son dos ou à sa ceinture, selon son humeur du jour.
Biographie
Née dans la petite ville de Renon, Kailan est issue d'une famille de tritons qui se sentaient plus aramiliens que d'Epistopoli. Du moins était-ce vrai pour les grand parents, qui avaient mal vécu l'annexion des terres d'Aramilia sans pour autant désirer quitter Renon, parce qu'ils avaient construit toute leur existence ici. Kailan y vécut ses deux premières années de vie, mais n'en garda aucun souvenir. Ses parents, se rêvant une vie meilleure dans la grande ville, déménagèrent pour Epistopoli.
C'était du moins ce que disaient tous ceux qui avaient connu les parents de Kailan. D'eux, elle n'en retint que des silhouettes floues, des mains tendues, affectueuses, carressantes, la chaleur de leurs peaux, et des cheveux châtain identiques aux siens.
Ils se sont tués à la tâche.
Tous les adultes disaient cela en secouant la tête, l'air navré, quand le sujet de ses parents était amené dans une conversation. Kailan, de ses cinq années, n'y comprit pas grand chose, mais elle ressentait ce vide quand elle voyait ceux des bas fonds qui en avaient la chance rejoindre leurs parents. Elle, elle errait de foyer en foyer, entre les familles généreuses lui offrant toit, nourriture et jeux avec leurs enfants, et les autres enfants des rues, ceux qui fuyaient leurs familles ou n'en avaient plus, ceux qui comprenaient qu'une enfant ne pouvait demeurer livrée à elle-même.
Elle apprit le fossé social qui séparait les siens de la haute ville quand elle s'y rendit, à sept ans, avec quelques autres gamins de son secteur, des amis d'enfance. Les gamins en guenilles qu'ils étaient n'avaient reçu que des regards dédaigneux, hostiles, de ces gens qui ne voulaient pas voir la misère à quelques quartiers de chez eux. Tout était immense, brillant, splendide, mais trop loin des mains sales de ces enfants nés du mauvais côté de la capitale. Kai rentra dans les bas-fonds en pleurs, ce jour-là, avec un sentiment incompréhensible lui brûlant la poitrine.
Humiliation. Injustice.
À dix ans, Kailan était déjà désabusée, et observait ce que devenaient ses amis les plus âgés. Il y avait ceux qui vivaient honnêtement, ceux qui finissaient pour la plupart à se casser le dos à l'usine, ou à faire le travail le plus ingrat, ceux que les plus riches ne désiraient jamais faire. Il y en avait certains qui s'en sortaient, ceux qui finissaient par avoir un travail dans la haute ville, mais ça se comptait sur les doigts, ces miracles là. Kai avait essayé : ça lui faisait tout juste les doigts d'une main. Et puis il y avait les autres, ceux qui outrepassaient la loi pour se bâtir cette vie de rêve, qui trempaient dans des affaires louches dont il ne fallait pas parler. Il y en avait tellement. Parmi eux, il y avait ceux qui se brûlaient les ailes et qui tombaient plus bas que terre, mais on les oubliait. On ne parlait que de ceux qui réussissaient, de ceux qui se faisaient un nom et persistaient, dont les affaires allaient même au-delà d'Epistopoli. Kai écoutaient les anecdotes des bas-fonds, les histoires de ces gens-là, et les erreurs des autres.
Nous aussi, on peut le faire !
Kailan avait entendu cette phrase d'une de ses amis à l'âge de douze ans. Sa vie avait basculé ce jour-là. Avec ses compagnons de galères, ils avaient fini par vivre du vol des plus riches, mais aussi de ventes à la sauvette. Des bibelots trouvés dans les eaux polluées des bas quartiers, puis des objets qui avaient un peu plus de valeur aux alentours de la ville. Kailan étant la seule triton du groupe, elle fut presque indispensable au groupe, grâce à son aptitude à demeurer sous l'eau sans avoir à remonter respirer au bout de quelques minutes.
Ça marchait bien au début, mais plus les mois passaient, et plus le groupe était avide d'argent. Il en fallait plus, pour eux, mais aussi pour leurs familles, de sang comme de cœur. Petit à petit, le jeu alla plus loin. Les petits vols à l'arraché devenaient plus élaborés, parce qu'on observait plus, parce qu'il fallait les gros poissons et pas uniquement le premier passant venu. Les plongées de Kai devenaient plus longues et laborieuses, les cours d'eau choisis plus stratégiques : il fallait fouiller là où les convois marins étaient passés, là où il y avait des épaves.
Ils empiétèrent bientôt les territoires d'autres groupes de jeunes qui avaient eu la même idée. Des anciens camarades de jeux devinrent des ennemis, ou des alliés, selon les situations, mais pas une semaine ne passait sans une bagarre entre deux bâtiments délabrés. Plus ils gagnaient en âge et plus les luttes étaient violentes. Kai avait dû s'armer d'une barre de fer lors d'une altercation avec un groupe ennemi. Depuis, elle ne l'avait plus lâchée.
Mais un soir, le point de non retour fut atteint. Lors d'un énième combat contre un autre groupe qui venait tenter de voler leur butin, les autorités intervinrent. Ce fut la débandade, mais tous ne parvinrent pas à s'en sortir. Du groupe ennemi, elle ne vit que quelques silhouettes disparates. Du sien, ce ne fut pas mieux. Les fuyards qui s'en étaient sortis apprirent quelques jours plus tard que leurs alliés et ennemis d'un soir avaient été incarcérés, pour les plus chanceux.
J'en peux plus. Je ne peux pas continuer.
Kailan entendit la voix de son amie résonner dans son esprit des jours durant. L'espoir avait quitté celles et ceux qui étaient épuisés par un travail finalement infructueux et la perte de leurs amis de longue date. Kailan s'accorda un peu de repos, pour se ressourcer mais aussi
pour se faire oublier des autorités. Ce fut quelques mois de repos, mais aussi d'explorations, aussi bien terriennes que maritimes. À dix-sept ans, Kailan comprit que malgré les épreuves endurées, elle voulait continuer dans la voie qu'elle avait choisie.
Sa quête d'argent et surtout de bonheur se poursuivit en solitaire, jusqu'à ce qu'elle apprenne l'existence d'un gang de ferrailleurs dans les bas-fonds. Après quelques recherches et quelques contacts, elle réussit à être remarquée par quelques membres de ce groupe. Elle finit par s'y faire sa petite place en tant que Novice, avec l'espoir de gravir quelques échelons, et pourquoi pas un jour avoir sa propre affaire.
Si vous m'cherchez, vous savez où m'trouver.
C'est ce qu'elle dit à ses proches amis chaque fois qu'elle les croise au détour d'une affaire, d'une mission ou d'une opportunité, ou simplement quand elle se balade dans les quartiers de son enfance. Elle a maintenant un logement à elle, de quoi se nourrir chaque jour, et se permet même d'accueillir des gosses qui sont perdus comme elle l'avait été auparavant.
Elle pourrait bien se contenter de ce quotidien, mais elle en veut toujours plus.
C'était du moins ce que disaient tous ceux qui avaient connu les parents de Kailan. D'eux, elle n'en retint que des silhouettes floues, des mains tendues, affectueuses, carressantes, la chaleur de leurs peaux, et des cheveux châtain identiques aux siens.
Ils se sont tués à la tâche.
Tous les adultes disaient cela en secouant la tête, l'air navré, quand le sujet de ses parents était amené dans une conversation. Kailan, de ses cinq années, n'y comprit pas grand chose, mais elle ressentait ce vide quand elle voyait ceux des bas fonds qui en avaient la chance rejoindre leurs parents. Elle, elle errait de foyer en foyer, entre les familles généreuses lui offrant toit, nourriture et jeux avec leurs enfants, et les autres enfants des rues, ceux qui fuyaient leurs familles ou n'en avaient plus, ceux qui comprenaient qu'une enfant ne pouvait demeurer livrée à elle-même.
Elle apprit le fossé social qui séparait les siens de la haute ville quand elle s'y rendit, à sept ans, avec quelques autres gamins de son secteur, des amis d'enfance. Les gamins en guenilles qu'ils étaient n'avaient reçu que des regards dédaigneux, hostiles, de ces gens qui ne voulaient pas voir la misère à quelques quartiers de chez eux. Tout était immense, brillant, splendide, mais trop loin des mains sales de ces enfants nés du mauvais côté de la capitale. Kai rentra dans les bas-fonds en pleurs, ce jour-là, avec un sentiment incompréhensible lui brûlant la poitrine.
Humiliation. Injustice.
À dix ans, Kailan était déjà désabusée, et observait ce que devenaient ses amis les plus âgés. Il y avait ceux qui vivaient honnêtement, ceux qui finissaient pour la plupart à se casser le dos à l'usine, ou à faire le travail le plus ingrat, ceux que les plus riches ne désiraient jamais faire. Il y en avait certains qui s'en sortaient, ceux qui finissaient par avoir un travail dans la haute ville, mais ça se comptait sur les doigts, ces miracles là. Kai avait essayé : ça lui faisait tout juste les doigts d'une main. Et puis il y avait les autres, ceux qui outrepassaient la loi pour se bâtir cette vie de rêve, qui trempaient dans des affaires louches dont il ne fallait pas parler. Il y en avait tellement. Parmi eux, il y avait ceux qui se brûlaient les ailes et qui tombaient plus bas que terre, mais on les oubliait. On ne parlait que de ceux qui réussissaient, de ceux qui se faisaient un nom et persistaient, dont les affaires allaient même au-delà d'Epistopoli. Kai écoutaient les anecdotes des bas-fonds, les histoires de ces gens-là, et les erreurs des autres.
Nous aussi, on peut le faire !
Kailan avait entendu cette phrase d'une de ses amis à l'âge de douze ans. Sa vie avait basculé ce jour-là. Avec ses compagnons de galères, ils avaient fini par vivre du vol des plus riches, mais aussi de ventes à la sauvette. Des bibelots trouvés dans les eaux polluées des bas quartiers, puis des objets qui avaient un peu plus de valeur aux alentours de la ville. Kailan étant la seule triton du groupe, elle fut presque indispensable au groupe, grâce à son aptitude à demeurer sous l'eau sans avoir à remonter respirer au bout de quelques minutes.
Ça marchait bien au début, mais plus les mois passaient, et plus le groupe était avide d'argent. Il en fallait plus, pour eux, mais aussi pour leurs familles, de sang comme de cœur. Petit à petit, le jeu alla plus loin. Les petits vols à l'arraché devenaient plus élaborés, parce qu'on observait plus, parce qu'il fallait les gros poissons et pas uniquement le premier passant venu. Les plongées de Kai devenaient plus longues et laborieuses, les cours d'eau choisis plus stratégiques : il fallait fouiller là où les convois marins étaient passés, là où il y avait des épaves.
Ils empiétèrent bientôt les territoires d'autres groupes de jeunes qui avaient eu la même idée. Des anciens camarades de jeux devinrent des ennemis, ou des alliés, selon les situations, mais pas une semaine ne passait sans une bagarre entre deux bâtiments délabrés. Plus ils gagnaient en âge et plus les luttes étaient violentes. Kai avait dû s'armer d'une barre de fer lors d'une altercation avec un groupe ennemi. Depuis, elle ne l'avait plus lâchée.
Mais un soir, le point de non retour fut atteint. Lors d'un énième combat contre un autre groupe qui venait tenter de voler leur butin, les autorités intervinrent. Ce fut la débandade, mais tous ne parvinrent pas à s'en sortir. Du groupe ennemi, elle ne vit que quelques silhouettes disparates. Du sien, ce ne fut pas mieux. Les fuyards qui s'en étaient sortis apprirent quelques jours plus tard que leurs alliés et ennemis d'un soir avaient été incarcérés, pour les plus chanceux.
J'en peux plus. Je ne peux pas continuer.
Kailan entendit la voix de son amie résonner dans son esprit des jours durant. L'espoir avait quitté celles et ceux qui étaient épuisés par un travail finalement infructueux et la perte de leurs amis de longue date. Kailan s'accorda un peu de repos, pour se ressourcer mais aussi
pour se faire oublier des autorités. Ce fut quelques mois de repos, mais aussi d'explorations, aussi bien terriennes que maritimes. À dix-sept ans, Kailan comprit que malgré les épreuves endurées, elle voulait continuer dans la voie qu'elle avait choisie.
Sa quête d'argent et surtout de bonheur se poursuivit en solitaire, jusqu'à ce qu'elle apprenne l'existence d'un gang de ferrailleurs dans les bas-fonds. Après quelques recherches et quelques contacts, elle réussit à être remarquée par quelques membres de ce groupe. Elle finit par s'y faire sa petite place en tant que Novice, avec l'espoir de gravir quelques échelons, et pourquoi pas un jour avoir sa propre affaire.
Si vous m'cherchez, vous savez où m'trouver.
C'est ce qu'elle dit à ses proches amis chaque fois qu'elle les croise au détour d'une affaire, d'une mission ou d'une opportunité, ou simplement quand elle se balade dans les quartiers de son enfance. Elle a maintenant un logement à elle, de quoi se nourrir chaque jour, et se permet même d'accueillir des gosses qui sont perdus comme elle l'avait été auparavant.
Elle pourrait bien se contenter de ce quotidien, mais elle en veut toujours plus.
Vers l’infini et au delà / Elle
Moi, c'est Plumeau ! Vieille rpgiste qui en a fait durant une dizaine d’années et qui aimerait bien le reprendre à ses heures perdues, j’aime aussi les jeux vidéos et l’animation (films et séries) de manière générale. À côté, je lis et j'écris des trucs. On peut m’apprivoiser à l’aide de frites et de chocolat.
Je compte rp de temps en temps, donc je ne serai pas une locomotive pour écrire et répondre /
Je compte rp de temps en temps, donc je ne serai pas une locomotive pour écrire et répondre /