Mer 4 Oct - 21:39
Les flammes crépitaient, projetant des ombres dansantes sur les murs de pierre du temple. Atahara était assise en tailleur sur un coussin brodé, ses yeux clos, sa respiration régulière comme les vagues qui caressent la plage. Autour d’elle, l’encens emplissait l’air d’un parfum doux et envoûtant, tandis que les chuchotements des fidèles en prière se fondaient en une douce mélodie.
Dans cet état méditatif, Atahara atteignait la frontière entre le monde matériel et celui des esprits. La connexion avec Tohorâ était presque palpable, une énergie bienveillante qui enveloppait son être comme les eaux calmes d’une baie. Elle se sentait comme une goutte d’eau se mêlant à l’océan infini de la conscience divine.
Soudain, une lumière éclatante perça l’obscurité de son esprit. Les vagues de méditation qui la berçaient se brisèrent, laissant place à un éclat argenté qui grandissait en intensité. Les murmures des fidèles s’estompèrent, remplacés par un doux murmure aquatique.
Une silhouette éthérée émergea de la lueur, une figure mi-humaine, mi-baleine, d’une beauté presque insoutenable. Tohorâ se tenait devant elle, ses cheveux flottant comme des algues dans une brise marine invisible. Ses yeux d’un bleu profond comme les abysses, semblaient contenir la sagesse des âges.
- Atahara, ma fidèle messagère, écoute-moi attentivement. Le temps est venu pour toi d’accomplir une grande quête. Une ancienne prophétie annonce un bouleversement imminent dans le désert d’Aramila. Ces signaux que tu prends pour des phénomènes lunaires loin dans le ciel sont en réalité des pierres astrales. Une d’entre elles va bientôt quitter la voûte céleste et choir dans le sable du désert. Cette pierre sera porteuse de pouvoir et de changement. Tu devras la retrouver et la protéger en mon nom.
La voix de la déesse vibra dans l’esprit de la prêtresse, faisant écho avec les bruits océaniques. Les paroles de Tohorâ résonnèrent en Atahara, emplissant son âme d’une détermination tranquille et pacifique.
- Je vous servirai, ma déesse. Je ferai tout en mon pouvoir pour honorer cette mission.
La déesse plissa les yeux, ses lèvres formant un doux sourire qui éclaira l’espace autour d’elles.
- Va, ma chère Atahara. Sois mon bras dans le monde terrestre. Prends soin de toi et sache que je veille sur toi et sur tes ancêtres.
L’image de Tohorâ s’estompa lentement, laissant Atahara seule dans le temple, les yeux encore clos. Lorsqu’elle les ouvrit enfin, elle se sentit revigorée, pleine de détermination. Les fidèles étaient partis depuis sans doute bien longtemps, la prêtresse ignorait combien de temps avait pu durer cette transe de spiritisme. Néanmoins, elle savait ce qu’elle devait faire.
Se levant avec grâce, Atahara prit une profonde inspiration. Elle se tourna vers l’autel de Tohorâ et déposa un baiser sur la statue de la déesse baleine. Puis d’un pas assuré, elle quitta le temple, prête à entreprendre la quête de l’éclat astral.
Les étoiles scintillaient dans le ciel nocturne, éclairant son chemin. Le désert d’Aramila l’attendait, mystérieux et plein de promesses. Atahara savait que cette quête serait une épreuve, mais elle était prête à la relever. Elle devait se préparer pour cette aventure spirituelle qui la mènerait vers l’inconnu, portée par la confiance en sa déesse et en elle-même.
Dans cet état méditatif, Atahara atteignait la frontière entre le monde matériel et celui des esprits. La connexion avec Tohorâ était presque palpable, une énergie bienveillante qui enveloppait son être comme les eaux calmes d’une baie. Elle se sentait comme une goutte d’eau se mêlant à l’océan infini de la conscience divine.
Soudain, une lumière éclatante perça l’obscurité de son esprit. Les vagues de méditation qui la berçaient se brisèrent, laissant place à un éclat argenté qui grandissait en intensité. Les murmures des fidèles s’estompèrent, remplacés par un doux murmure aquatique.
Une silhouette éthérée émergea de la lueur, une figure mi-humaine, mi-baleine, d’une beauté presque insoutenable. Tohorâ se tenait devant elle, ses cheveux flottant comme des algues dans une brise marine invisible. Ses yeux d’un bleu profond comme les abysses, semblaient contenir la sagesse des âges.
- Atahara, ma fidèle messagère, écoute-moi attentivement. Le temps est venu pour toi d’accomplir une grande quête. Une ancienne prophétie annonce un bouleversement imminent dans le désert d’Aramila. Ces signaux que tu prends pour des phénomènes lunaires loin dans le ciel sont en réalité des pierres astrales. Une d’entre elles va bientôt quitter la voûte céleste et choir dans le sable du désert. Cette pierre sera porteuse de pouvoir et de changement. Tu devras la retrouver et la protéger en mon nom.
La voix de la déesse vibra dans l’esprit de la prêtresse, faisant écho avec les bruits océaniques. Les paroles de Tohorâ résonnèrent en Atahara, emplissant son âme d’une détermination tranquille et pacifique.
- Je vous servirai, ma déesse. Je ferai tout en mon pouvoir pour honorer cette mission.
La déesse plissa les yeux, ses lèvres formant un doux sourire qui éclaira l’espace autour d’elles.
- Va, ma chère Atahara. Sois mon bras dans le monde terrestre. Prends soin de toi et sache que je veille sur toi et sur tes ancêtres.
L’image de Tohorâ s’estompa lentement, laissant Atahara seule dans le temple, les yeux encore clos. Lorsqu’elle les ouvrit enfin, elle se sentit revigorée, pleine de détermination. Les fidèles étaient partis depuis sans doute bien longtemps, la prêtresse ignorait combien de temps avait pu durer cette transe de spiritisme. Néanmoins, elle savait ce qu’elle devait faire.
Se levant avec grâce, Atahara prit une profonde inspiration. Elle se tourna vers l’autel de Tohorâ et déposa un baiser sur la statue de la déesse baleine. Puis d’un pas assuré, elle quitta le temple, prête à entreprendre la quête de l’éclat astral.
Les étoiles scintillaient dans le ciel nocturne, éclairant son chemin. Le désert d’Aramila l’attendait, mystérieux et plein de promesses. Atahara savait que cette quête serait une épreuve, mais elle était prête à la relever. Elle devait se préparer pour cette aventure spirituelle qui la mènerait vers l’inconnu, portée par la confiance en sa déesse et en elle-même.