Dim 1 Sep - 11:36
Nymera
Contade / Citoyenne
- 21 ans / 14 Fanthret 1880
- Banshee / Femme
- Doulek
- Bisexuelle / Elle
- Aventurière pour gagner quelques pièces.
- Melina de Elden Ring
Description
Un cri strident me déchire la gorge. Larmes aux yeux, horreur dans les pupilles, je me précipite vers Null. Comment l’univers tout entier peut-il continuer de tourner après une telle infamie ? Chaque pas est un supplice, chaque souffle un poignard. Mon âme s'effondre, fracassée par l'indifférence glaciale de celle que je croyais connaître. Comment a-t-elle pu ? Je vacille, attrapant une natte brune au sol. « Je sais pas si je te pardonnerai un jour… » murmuré-je, presque en sanglots, m’éloignant vers les bois.
« Si tu dormais pas comme un rat crevé... Ramène du bois sec en revenant ! »
« Si tu dormais pas comme un rat crevé... Ramène du bois sec en revenant ! »
- Résumé + détails:
- Physique. Brune avec un carré, yeux doré, 1,65m, s'habille en noire, principalement. Ses élytres sont bruns foncés avec des traits noirs. Personnalité. Nym est curieuse, patiente, empathique, débrouillarde, discrète, calme, un chouïa dramatique, une overthinkeuse, têtue, peureuse et possessive. (Parce que j'ai oublié d'en parler et je savais plus où le mettre...) Religion. Nym a grandi dans une famille de panthéistes orthopraxes. Les ayant quitté assez tôt, cependant, elle ne sent pas vraiment attaché et prie plus par habitude qu'autre chose. Sa divinité préféré est Raphalos.
***
Malgré elle, sa longue chevelure brune s'est raccourcie jusqu'à ses épaules. Trop encombrant au goût de son mentor. Revêche, secs, emmêlés. Nymera n'a jamais avoué qu'elle ait pu avoir raison, mais on ne les a plus jamais revu aussi long depuis…
Pendant longtemps, elle n'a pas osé regarder son reflet. Camouflée sous son capuchon, toujours à l'abri des regards et du soleil, son teint bronzé s'est cendré. Sa peau s'est effacée. Tout comme ses élytres, empreints de traces noires et sinueuses, dont le brun ne semble plus aussi chaud qu’avant. En observant ses mains, ses pensées vagabondent à s'en demander si ses iris ont conservé leur chatoyant doré ou si, eux aussi, ont manqué de rayons. « Aucune jeune fille n'aime vraiment son visage dans la glace de toute manière » dixit Null. Nymera a souvent entendu cette affirmation, sans jamais entendre qu'elle, elle la trouvait belle.
Mais c'est important. Important de cacher ce corps effiloché. Ces jambes vacillantes. Ces mandibules brunes et aiguisés. Ces ailes délicates, d'un blanc laiteux. De les enfouir sous toujours plus de couches, toujours plus de ténèbres. Ne laissant s’échapper que la pointe d'un orteil, une main qui agrippe un rebord, un regard furtif qui vous transperce à un croisement, là. Quand Nym passe, c'est tout un marais boueux qui vous effleure. Lent, impotent. Ignorant à l'art du mouvement. Une silhouette voilée et volée, sanglée de besaces, qui, quelquefois laisse s'échapper un ou deux tintements. C'est une odeur de terre et de mousse, si familière, mais lointaine à la fois. C'est un étrange claquement qui surprend. Clak-Clak. C'est une voix enrouée, usée par le silence.
Et pourtant…
Et pourtant, c'est une femme pleine de douceur. Nym au cœur de laine.
La laine, ça se tisse lentement, se renforce maille par maille, mais ça peut se défaire en un instant, si on tire sur le bon fil. Nym sait ça. Elle a appris à tricoter et défaire, à raccommoder quand il le faut. Une patience qu’elle a peaufinée au fil des jours, comme une araignée tissant sa toile, chaque boucle, chaque maille une promesse de tenir bon.
Derrière son capuchon, Nym observe le monde avec une curiosité avide. C'est une âme qui a appris à se méfier de la lumière autant que des ombres. Nym, c’est ce murmure à peine perceptible, cette ombre qui glisse sans bruit. Ses gestes sont précis, calculés. Elle sait où poser les pieds pour ne pas laisser de trace. Comment se mouvoir pour que personne ne la remarque. C’est comme un art qu’elle pratique depuis des années, une danse silencieuse avec le monde autour d’elle. Mais ce vilain petit défaut, c'est aussi ce qui la protège, ce qui la garde entière dans un monde qui pourrait facilement la broyer.
Nymera, elle se tait pour mieux écouter. Elle observe pour mieux comprendre. Elle analyse pour mieux aider. Elle s'émeut d'un enfant qui pleure. Elle a peur des bruits soudains. Monte chercher Grosminet sur sa branche pour la grand-mère du coin. A le vertige. Aime le bleu. Et le rose. Elle s'énerve contre ses nœuds chaque matin. Elle n'aime pas la soupe. Elle n'aime pas le poisson. N'aime pas la soupe de poissons. Elle boude au lieu de s'expliquer. Elle claque ses mandibules quand on l'effraie. Elle aussi veut commérer sur les derniers potins. Elle tangue en équilibre entre ce qu’elle montre et ce qu’elle cache, entre celle qu’elle veut devenir et celle qu'elle est.
Mais parfois… Il y a un éclat, un rire qui s'échappe malgré elle, comme une étincelle dans l'obscurité. C'est rare, presque involontaire, et elle s'empresse de le ravaler, de l’étouffer. Mais il est là, ce rire, preuve qu'il reste encore quelque chose d’indomptable en elle, quelque chose que ni la forêt, ni Null, ni l'âge adulte n'ont pu éteindre. Cette chaleur qui persiste, contre toute attente. Elle est cette braise fragile qui refuse de s’éteindre, cette lumière tamisée sous des couches et des couches de nuit, qui n’attend qu'une brise pour s'embraser à nouveau.
Alors elle continue, pas après pas, même si elle ne sait pas toujours où elle va. Elle avance, poussée par une force qu'elle ne comprend pas toujours, mais qu'elle ne remet jamais en question. Parce que vivre, pour elle, ce n'est pas la question. C'est la réponse.
Habiletés et pouvoirs
« Tu ne vas pas mourir… Juste croire très fort que tu y passes. »
Pas le temps de bégayer un « mais », je virevolte, le regard obstrué par mes cheveux, Null n'est déjà plus qu’un trait de noir dans le ciel. Le vent s'engouffre dans mes oreilles, couvrant mes propres cris. Voler. Je dois voler. Impossible. Je n'y arriverai jamais. Un liquide chaud glisse de son entrejambe. Mon souffle… Où est-il ? Les larmes s’envolent dans ma chute. Mourir. Aide. Null. Choc. Vivante. Mes pensées saccadés se succèdent tandis que le noir m’envahit. C'est fini.
« Pffff, je lui avais dit que… putain, c’est de la pisse ?! »
Hypervélocité. Depuis le temps, elle a appris à voler. Plus ou moins... En terrain découvert, après deux mètres, elle perd en confiance et au bout de six-sept se fige dans les airs et retombe comme une crotte. Au quotidien, si elle fatigue, sans foule autour, elle a donc tendance à planer à une trentaine de centimètres du sol. En forêt ou s’il y a une densité suffisante d’arbres, cela ne la dérange plus autant. Elle aime virevolter de branche en branche, c’est même le terrain où elle est la plus agile.
Mandibule. Ça, elle sait y faire, découper des trucs. Clak-Clak.
Survie. La majeure partie de sa vie s'est passée dans la nature. Traquer, chasser, faire un feu, un camp rudimentaire, des pièges etc… Toutes ces compétences font partie de ce petit héritage si particulier qu’elle se trimballe. De plus, elle a beaucoup voyagé, alors même si la forêt reste son lieu de prédilection, elle se débrouille dans à peu près tous les milieux. Elle connaît les plantes de leurs effets les plus rudimentaires au plus complexe ; et les animaux, ceux qu'elle aime, faciles à attraper et… les autres.
Pas le temps de bégayer un « mais », je virevolte, le regard obstrué par mes cheveux, Null n'est déjà plus qu’un trait de noir dans le ciel. Le vent s'engouffre dans mes oreilles, couvrant mes propres cris. Voler. Je dois voler. Impossible. Je n'y arriverai jamais. Un liquide chaud glisse de son entrejambe. Mon souffle… Où est-il ? Les larmes s’envolent dans ma chute. Mourir. Aide. Null. Choc. Vivante. Mes pensées saccadés se succèdent tandis que le noir m’envahit. C'est fini.
« Pffff, je lui avais dit que… putain, c’est de la pisse ?! »
***
Hypervélocité. Depuis le temps, elle a appris à voler. Plus ou moins... En terrain découvert, après deux mètres, elle perd en confiance et au bout de six-sept se fige dans les airs et retombe comme une crotte. Au quotidien, si elle fatigue, sans foule autour, elle a donc tendance à planer à une trentaine de centimètres du sol. En forêt ou s’il y a une densité suffisante d’arbres, cela ne la dérange plus autant. Elle aime virevolter de branche en branche, c’est même le terrain où elle est la plus agile.
Mandibule. Ça, elle sait y faire, découper des trucs. Clak-Clak.
Survie. La majeure partie de sa vie s'est passée dans la nature. Traquer, chasser, faire un feu, un camp rudimentaire, des pièges etc… Toutes ces compétences font partie de ce petit héritage si particulier qu’elle se trimballe. De plus, elle a beaucoup voyagé, alors même si la forêt reste son lieu de prédilection, elle se débrouille dans à peu près tous les milieux. Elle connaît les plantes de leurs effets les plus rudimentaires au plus complexe ; et les animaux, ceux qu'elle aime, faciles à attraper et… les autres.
Possessions
« Mange pas ça, gamine.
– Mais, tu m’prends pour une idiote ! J’veux pas la manger, regarde comme elle est mignonne ! »
Je fais la moue. Dans mes mains gît une minuscule tortue, recroquevillée dans sa carapace. Si je l’approche plus près, je suis persuadée que ses minis yeux globuleux rouge, sa peau tâcheté de jaune et sa carapace décorées de signes tribaux auront raison de son cœur en pierre. Joignant la parole à l’acte, j’approche la petite bestiole de son regard inquisiteur. Croc. Oh. Elle vient de lui pincer le nez.
« Jette moi cette merde à l’eau.
– Je pense que je vais l’appeler Pincher. »
***
Tortue. Nom : Pincher. âge : 5 ans ? Sexe : ? Taille : environ 11 cm. Utilité : En cours de recherche…
Bâton. Juste un bâton. C’est le seul objet terrestre auquel elle tient. Et sur lequel elle tient, par ailleurs. Null lui a légué, alors elle le garde. Il est attelé d'un Nascent physique [Protection] dont elle ne sait pas se servir.
Sacs. Nomade, elle se promène toujours avec toutes ses possessions dans ses besaces, encerclées par leurs sangles. À part une bourse fatiguée, quelques ustensiles pour faire un feu, un petit couteau, des pommades et des fioles malodorantes avec des signes étranges gravés sur les bouchons, pas grand chose à signaler.
Biographie
- pirouette cacahuète:
- À 12 ans, Nymera se perd en forêt, tombe sur des Malfeuilles et devient Banshee. Quand son père la retrouve, il la chasse, conscient du sort que le village lui réserverait. Elle survit, proche des fermes, attaquant les agneaux imprudents et de petits animaux. Les têtes, laissées à l’abandon et tuées de manière étrange, attirent l’attention. Les rumeurs circulent dans les alentours et les habitants s'agitent... Une Banshee sur leur terre ! Null, une Banshee vagabonde, parcourant les contrées pour ce qu'elle sent être ses dernières années, la trouve et la prend sous son aile. Elles vont passer sept ans ensemble. Sept années où la vieille Banshee va lui apprendre à se débrouiller seule. Dans l’année de ses 20 ans, la vieille la quitte en lui laissant son bâton comme seul souvenir. Depuis, Nym a intégré la guilde des aventuriers, histoire de gagner un peu de sou et combler l’ennui. Elle continue d’arpenter Uhr, persuadée d’y rencontrer sa mentor un jour.
[Rien n'est précaire comme vivre
Rien comme être n'est passager ]
La nuit tombe. Les ombres se glissent entre les arbres, transformant l’environnement en fantômes mouvants. Je sens une boule de charbon frétiller dans mon ventre. Papa va être furieux. Il m’a dit de ne pas m’éloigner. Mais je voulais juste explorer, juste un peu. Les larmes montent à mes yeux, mais je les ravale. J’ai mal. Mes jambes sont lourdes. La faim me tiraille de l’intérieur. Partout ma peau se zèbre de lignes rouges. Mon corps est éraflé par les ronces qui s’accrochent à moi comme des griffes autour d’une proie. La forêt s’épaissit, avalant chaque souffle, chaque son. Tout devient flou. Indistinct. Le vent chuchote mon nom. « Lyre …» C’est discret et succinct. Un murmure au milieu des branches. « Lyria…» Papa !
Je trébuche et tombe lourdement. La douleur explose dans mon genou, un cri s’échappe de mes lèvres avant que je ne puisse l’arrêter. Le cri… Il se transforme, change en quelque chose de terrible, une note aiguë, déchirante, qui semble arracher la nuit en lambeaux. Je m’arrête net, terrifiée par ce son qui ne ressemble pas à ma voix. Je couvre ma bouche de mes mains tremblantes. Quelque chose me gêne. Pointu. Acéré. Dangereux.
Papa… J’ai mal. Mais j’ai ressenti alors dix fois encore cette douleur dans le regard de mon père.
« N’approche pas…! Pars Lyria… Fuis… Loin ! Allez tout de suite, ma petite ! »
Pourquoi ? Pourquoi ? Des bruits de pas. Une lumière vive et chaude. Des torches. Le village. Je suis tétanisée. « LYRIA ! » Je me relève, difficilement. Courir. C’est la première fois que j’ai vu mon père pleurer. La dernière fois aussi.
[C’est un peu fondre pour le givre]
J’ai passé beaucoup de temps à me demander ce que j’avais fait de mal. Quel Dieu abattait son courroux sur ma peau et de quel damne je devais me repentir. Chaque soir, lorsque la faim me prenait aux tripes, je regrettais de ne pas avoir partagé ma confiture avec le petit Tomy d’à côté ou d’avoir poussé Jena dans l’eau du fleuve après une chamaillerie.
Je n’ai pas été bonne tout de suite que ce soit pour voler ou utiliser mes nouvelles armes. Pour survivre, j’ai rongé jusqu'à l’os les cadavres délaissés par quelques carnivores et les quelques petites bébêtes que je parvenais à attraper.
Du coup, ce jour-là, je me suis sentie chanceuse pour la première fois depuis des mois. Couché, là, en plein centre d’un îlot de lumière, un cadavre de mouton juteux. Affamée, ni une ni deux, me voilà projeter sur la bête. Puis, la seconde d’après, la tête en bas, attachée par la cheville, je me retrouve à pendouiller. Aussi étonnant que cela puisse paraître, je ne panique pas vraiment. J'attends.
Ting. Ting. Ting. Interloquée, j’ouvre les yeux sur une forme longiligne, dégoulinant de noire, courbée, semblant ne tenir que grâce à une branche. Exactement ce que je m'imagine du Croque-mitaine à cette époque. L’ombre approche. Dans ses pas résonnent des carillons. Ting. Ting. Ting. Sa démarche titubante ouvre cet amas foncé, laissant choir des mains gantées aux gemmes dorées comme les dunes de sable. Ferme les yeux, n’ai pas peur. Attente. Chute. Aïe, aïe, aïe. Silence. Soupir.
Quand je rouvre les pupilles, le constat me laisse ébahi. Je suis libre et le Croque-mitaine s’en va. Le mouton est toujours là, lui. Je peux le récupérer et m’en aller. Oui, bon. Probablement la chose à ne pas faire… Ting. Ting. Ting. Transie, comme la chèvre derrière son berger, je boitille derrière cet étrange bourreau qui amène les ténèbres dans son sillage, me demandant si ce curieux son de carillon provient d’os d’enfants abriter sous sa cape…
[Et pour le vent être léger]
Null… c'est comme ça qu'elle s'est présentée à moi et je n'en ai jamais demandé plus.
Null m’a tout appris. Elle m’a tout montré et tout donné. Claudiquer derrière son ombre a été la meilleure période de ma courte vie. Je ne parle pas seulement des impératifs vitaux. C’est avec elle que j’ai découvert l’amour. Pas celui qu’on lit dans les livres ou qu’on imagine dans les contes, mais un amour profond, viscéral, celui qui vous façonne et vous soutient. Null a été comme une mère et une sœur tout à la fois, un pilier dans mon existence chaotique.
Elle m’a pris sous son aile, moi, un oisillon tombé du nid ; m'a aidé à me relever même lorsque tout s’effondre. Null m’a appris à lire les gens, à comprendre les intentions derrière les sourires et les regards bienveillants. Elle m’a enseigné à naviguer entre les ombres, à me faire discrète quand il le fallait et à surgir avec force quand le moment était venu. Null m'a montré comment survivre dans un monde qui ne pardonne pas. Ses leçons sonnaient dures, cruelles même, mais nécessaires. Elle savait que la vie ne m’épargnerait pas, alors elle ne l’a pas fait non plus. Mais dans chaque correction, chaque mot tranchant, il y avait une tendresse cachée, une volonté farouche de me voir devenir plus forte.
C’est avec Null que j’ai eu mes premières cuites, que j’ai ri jusqu’à en pleurer et que j’ai pleuré jusqu’à en maudire. Chaque instant passé avec elle a été un souvenir gravé en moi comme un tatouage que je porte avec fierté. Elle n’était pas parfaite, loin de là, mais elle était tout pour moi. Elle a été ma guide, mon amie, ma famille, celle qui m’a donné la force de devenir ce que je suis aujourd’hui. Alors, même si c’est difficile de se réveiller seule, un matin, un drôle de bâton, dont je ne sais pas me servir en guise d’adieu ; je laisse le temps user de sa magie.
[J’arrive où je suis étranger]
Je pourrais passer des lignes et des lignes à expliquer chaque détail de mon premier cri, mes premiers pas, mes premières amourettes. La terreur qui vous prend quand ceux qu’on aime braquent des armes contre vous. M'épancher sur la douleur lancinante qui plante ses crocs dans votre chair quand son monde se casse la figure. Ou encore, comment j’ai découvert que les écureuils avariés ont mauvais goût. Mais à quoi bon ?
La vérité est que ma caboche n’a rien retenu de tous ces détails.
Je me rappelle de la douce chaleur du soleil que j’ai remercié chaque matin. La douche hebdomadaire que je repoussais encore et encore. De comment, moi aussi, je voulais un prénom en “N”. La fraîcheur ressentie à l’ombre d’un grand arbre feuillu, au milieu d’un été brûlant. La simplicité d’une vie en forêt et le souffle vivifiant de la montagne. La manière dont je me perdais sans cesse dans le puzzle qu’est Xandrie. Je me rappelle mon premier vol où je me suis coincée dans un arbre, obligeant Null à me libérer. Les premières chasses fastidieuses et les premiers boutons d'adolescence. Je me souviens des plantes qui m'ont piqué et celles qui m'ont soigné.
La grande Nym n’est pas bien différente de la petite Lyre. Toujours poussée par sa curiosité dans les endroits où on ne la veut pas. Et c’est très bien ainsi.
Hakuna Matata / Elle
Hum... alors, j'aime bien les chats, le chocolat.... je hais les factures, responsabi-... Ah, hors-sujet ? Bon, en vrai, je ne suis pas trop sujet (-18), même si ce n'est pas catégorique et qu'il y a des exceptions, ça pourrait se voir en PV ! En ce qui concerne mes dispos, mon problème c'est que j'ai tendance à vouloir un temps de maturation et beaucoup relire... mais sûrement au moins une bonne fois par semaine !
Dernière édition par Nymera le Sam 7 Sep - 11:22, édité 8 fois