Jeu 20 Juin - 19:39
Ekhart Faypher
Epistopoli/Dirigeant (Comité d'Instruction)
- 43 ans /19 Themiatis de l'an de grâce 1858
- Amélioré / Homme
- Renon
- Hétérosexuel / Il
- Militaire - Intendant des armées du Renon
- Vergil - Devil May Cry - OC
Description
Pur produit des élites épistotes, Ekhart a hérité de la vanité toute ostentatoire des bien nés qui ont cette facheuse manie de vous toiser avec ce soupçon de condescendance teinté d’indifférence qui les rend si antipathique aux yeux de tout-un-chacun. Lui ne s’embarrasse pas le moins du monde des us et des conventions lorsque son œil d’airain fait mine de vous scruter alors qu’il pourfend l’infinité de horizon au dessus de votre épaule comme si vous ne méritiez pas son attention. Quantité négligeable, votre personnalité glisse sur le miroir de son dédain et de cette moue délibérément narquoise qui vous met au défi de la faire disparaître. Impérieux, l’officier piétine vos états d’âme avec le même soin qu’il imprime la semelle de sa botte sur le visage des réunionistes du Renon pour tuer dans l’œuf toute velléité de résistance. Le décompte des morts égrainés dans son sillage semble déjà si loin depuis qu’il a été propulsé au sortir de la crème des meilleures institutions militaires – il y plus de vingt ans - pour faire ses armes aux prises avec une guérilla protéiforme comme seule l’infâme engeance aramillane rivalise d’ingéniosité pour la perpétuer quarante années après l’annexion de cette contrée disputée.
La formation d’officier d’Ekhart l’a pourvu d’un pragmatisme qui ne souffre d’aucune hésitation ainsi que d’une pensée militaire qui dépasse la seule discipline du terrain pour s’adapter à des réalités qui supposent des approches plus globales. Impitoyable et méthodique, c’est un jusqu’au boutiste retors qui ne reculera devant aucune extrémité pour parvenir à ses fins. Son ascension fulgurante dans la longue chaîne de commandement militaire consacre la reconnaissance d’un engagement de tous les instants et la pugnacité d’une personnalité qui s’est toujours refusé à livrer la moindre concession envers les rebelles séparatistes. Un œil avisé saura reconnaître sur les épaulettes de son uniforme anthracite les gallons caractéristiques d’un haut-gradé de la junte. Homme de poigne et d’expérience, Ekhart se plaît à incarner la main de fer dans le gant de velours qu’exige ses responsabilités au Renon. Il est l’une des figures de premier ordre de la conquête et de l’administration du territoire et est régulièrement pris pour cible par les factieux qui voudraient bien épingler sa tête à leur tableau de chasse. De par son statut, Ekhart s’efforce à la fois de contenter les ardeurs des bellicistes les plus féroces - partisans d’une guerre totale avec la peste jaune - en harcelant les positions des réunionistes tout en s’adonnant aux manœuvres tacticiennes et politiques qu’un poste de de son envergure suppose auprès des instances dirigeantes d’Epistopoli afin d’obtenir les crédits nécessaires à la poursuite de ses missions.
La formation d’officier d’Ekhart l’a pourvu d’un pragmatisme qui ne souffre d’aucune hésitation ainsi que d’une pensée militaire qui dépasse la seule discipline du terrain pour s’adapter à des réalités qui supposent des approches plus globales. Impitoyable et méthodique, c’est un jusqu’au boutiste retors qui ne reculera devant aucune extrémité pour parvenir à ses fins. Son ascension fulgurante dans la longue chaîne de commandement militaire consacre la reconnaissance d’un engagement de tous les instants et la pugnacité d’une personnalité qui s’est toujours refusé à livrer la moindre concession envers les rebelles séparatistes. Un œil avisé saura reconnaître sur les épaulettes de son uniforme anthracite les gallons caractéristiques d’un haut-gradé de la junte. Homme de poigne et d’expérience, Ekhart se plaît à incarner la main de fer dans le gant de velours qu’exige ses responsabilités au Renon. Il est l’une des figures de premier ordre de la conquête et de l’administration du territoire et est régulièrement pris pour cible par les factieux qui voudraient bien épingler sa tête à leur tableau de chasse. De par son statut, Ekhart s’efforce à la fois de contenter les ardeurs des bellicistes les plus féroces - partisans d’une guerre totale avec la peste jaune - en harcelant les positions des réunionistes tout en s’adonnant aux manœuvres tacticiennes et politiques qu’un poste de de son envergure suppose auprès des instances dirigeantes d’Epistopoli afin d’obtenir les crédits nécessaires à la poursuite de ses missions.
Habiletés et pouvoirs
A l’instar de bien trop de soldats stationnés dans le smog perpétuel du Renon, des études épidémiologiques ont permis de confirmer que l’officier Faypher a contracté des métastases pulmonaires en raison d’une surexposition prolongée aux toxines telles que le benzène, le toluène, le formaldéhyde ou encore les vapeurs de méthane libérés par les forages et l’exploitation des puits d’hydrocarbures. Les conditions atmosphériques excessivement délétères des environnements d’extraction ont aussi entraîné des troubles cardiovasculaires sévères chez le patient. Une prothèse ventriculaire mécanique niché sur son palpitant vise à réduire le risque d’inflammation des organes les plus critiques et ainsi prévenir des complications graves telles que des myocardites et des hépatites. Les résultats des examens approfondis font état de tumeurs généralisés qui si elles ne présentent à l’heure actuelle pas de danger imminent, nécessitent un suivi régulier scrupuleux compte tenu des probables incidences et de l’altération des fonctions biologiques du sujet. Pour l’heure, Ekhart dispose de poumons artificiels biomimétiques et microfluidiques qui visent à reproduire les capillaires pulmonaires d’un patient sain. L’innovation scientifique épistote permet l’oxygénation de plus grands volumes sanguin pour palier à toute insuffisance pulmonaire. La durée de vie du dispositif n'excède pas un mois et son remplacement nécessite que le patient soit anesthésié et placé sous assitance respiratoire.
Biographie
Cadet d’une famille de notables d’Epistopoli, Ekhart prit le contre-pied de ses frères aux parcours scientifiques auxquels leurs parents les prédestinaient pour embrasser une carrière militaire bien plus prosaïque. Endoctriné par la propagande épistote sur la figure tutélaire du Régent, le jeune homme a troqué le cocon familial scientiste pour la discipline d’un pensionnat militaire dés qu’il put passer les tests d’aptitudes nécessaires à son admission auprès de la prestigieuse école de guerre d’Epistopoli. Si la fortune et le rang des élèves permet bien des privilèges, l’institution militaire a le mérite de brouiller les lignes pour loger tous les élèves à la même enseigne, le mérite devenant la seule variable d’accession à de nouvelles responsabilités dans la hiérarchie. Les dix années qui suivirent auprès de l’académie puis de l’école des officiers lui inculquèrent la méthode et les rudiments nécessaires pour pouvoir servir sous les drapeaux et faire face aux situations les plus critiques. Le jeune promu hérita de sa première affectation de sous-officier auprès d’une unité stationnée aux confins de la capitale au plus près des zones de non-droit où se plaît à s’épanouir la frange des rebuts et des laissés pour compte de la grande chaîne du progrès d’Epistopoli. Un poste difficile et exigeant mais ô combien salvateur pour forger le caractère inflexible d’un jeune sang immature et avide de faire ses premières armes au plus près du terrain. Les bas-fonds ont cette faculté singulière de séparer le bon grain de l’ivraie et de révéler le potentiel des éléments les plus prometteurs. Bien des années plus tard, il apprendrait que l’état-major dépêche sur place ses meilleures recrues pour un exercice de sélection naturelle en conditions réelles. L’expérience dura près de trois années pour le sous-off avant qu’il ne soit muté dans les Terres de Soufre afin de protéger les infrastructures stratégiques du régime menacées par les opérations de sabotage des rebelles agissant en sous-main pour le compte de l’abjecte théocratie Aramilanne.
Ici, au plus près des rouages de la grande machine épistote dans le smog perpétuel du Renon, il assura d’abord la protection des puits d’hydrocarbures et des contremaîtres chargés de leur exploitation. Il succéda à un officier réformé qui fut rapatrié à Epistopoli après avoir perdu l’usage de ses jambes suite à l’explosion préméditée d’une galerie par l’ennemi. Ekhart, lui, s'assura de ne pas être aussi permissif que son prédécesseur avec les rebelles. Cette terre inhospitalière marqué de stigmates si profonds qu’elle saigne son or noir sans discontinuer depuis quarante ans, lui donnait tout le loisir de mettre en pratique et sans retenue les mesures auxquels il devait se refuser dans la métropole. L’Aramilan est une espèce fourbe et complexe à appréhender, un spécimen rusé qui a le don de s’immiscer au plus près pour frapper mortellement avant de regagner les ombres pour ourdir son prochain forfait. Si l’officier ne pouvait faire usage de moyens de grande envergure pour endiguer la peste jaune, Ekhart employa toutes les stratégies les plus viles pour compromettre les velléités des plus rétifs au maintien de la suprématie épistote. Intimidation, torture, empoisonnement, amputation, l’officier ne fit aucun compromis pour museler ce parasite bien trop encombrant pour en tolérer son mal de reconnaissance.
Au fil des années, il s’illustra comme l’instigateur de coups d'éclats fameux et contribua à installer le spectre d’une répression qui ne s’embarrassa nullement ou presque du soin des apparences. Il réorganisa les contingents de sorte à créer des forces mobiles d’intervention, privilégiant la rapidité à la puissance de feu pour entraver les opérations de guérilla menés par les réunionistes. Il est aussi à porter à son crédit la création d’équipes tactiques de sentinelles accompagnées d’automates à même de déchaîner les enfers dans les tunnels souterrains où la lie partisane aime se terrer pour fomenter ses attentats. L’audace faisant, l’ambitieux sous-officier prit du gallon pour devenir un haut-gradé éminent au visage connu et identifié par le mouvement séditieux mais guère plus qu'un nom sur une liste qui en comprenait sans doute des dizaines pour pouvoir prétendre au titre d’Amiral un jour lointain.
Fort de ses succès, Ekhart prit une nouvelle dimension lorsqu’il écopa du poste ô combien influent de commissaire aux affaires locales en réaction aux premières échauffourées des évènements de ce qui allait devenir la tristement célèbre résurgence réunioniste. Un rôle politique de premier plan pour faire passer ses idées au plus près des émissaires et relais d’influence à même de mettre en œuvre et sans heurt les décisions régaliennes de la capitale. Sur cet échiquier, Ekhart fit prendre à l’archevêque du Renon une place toute particulière dans le déploiement de la politique épistote. Il fit asseoir la primauté de l'autorité de l’ecclésiastique auprès de ses ouailles captives tout en lui donnant les moyens et l’envergure illusoire de jouer un rôle de premier plan sur la scène locale. Acteur et complice de la politique coloniale, il devient l’une des principales têtes de pont de la diplomatie épistote, s’imposant comme l’un des tout interlocuteurs primordiaux à même d’améliorer la sécurité et les conditions d’existence des aramilans au quotidien. Au vu de son passif d’exactions, Ekhart privilégia l’effacement et pilota en sous-main la politique intérieure de ce territoire en placant l’archevêque sous la lumière des projecteurs. Bien conscient que la manœuvre pouvait à terme virer au jeu de dupes à mesure que le religieux prendrait une place trop importante, il fit étroitement surveiller le pontife de sorte à brider ses marges de manœuvre. Garant des organes politiques et médiatiques, le commissaire aux affaires locales pouvait d’un trait de plume et sans aucune forme de procès envoyer au gibet tout élément indolent et perturbateur.
La précarisation récente de la situation d’Epistopoli sur la scène internationale obligea l’Amiral à revoir ses priorités afin de palier à la crise diplomatique consécutive à la disparition du Régent dans des circonstances troubles. De fait, le commissaire aux affaires du Renon, véritable trait d’union entre les instances locales et l’Amiral lui-même, se vit octroyer encore plus d’attributions dans la gestion du Renon alors même que l’enclave était aux prises avec une recrudescence d’actes terroristes disparates perpétrées contre le gouvernorat local. Cette menace persistante mais surtout l’incapacité du chef d’État Major à mater les exactions infâmes de cette frange séditieuse qui avait pris racine dans le naphte du Renon depuis presque une dizaine d’années, commençait à saper durablement l’influence et la réputation de l’officier auprès du comité d’Instruction. Comment une nation capable de produire des zeppelins et des armes de destruction massives de manière industrielle pouvait t’elle décemment buter contre une bande de va-nu pieds téméraires armés de seuls fusils ? Si L’Amiral ne se faisait aucune illusion quant aux complicités intestines que ces rebuts de la pire espèce aient pu bénéficier pour mener à bien leurs actions ciblées, il demeurait complexe de traduire les coupables et leurs familles devant une cour martiale pour les envoyer à la potence.
Elu membre à part entière du comité d’instruction depuis les prémices de la résurgence réunioniste, l’officier rend compte de la situation géopolitique du Renon pour le compte de l’Amiral qui a bien d’autres chats à fouetter que de « trôner au conseil d’un parterre d’hypocrites vaniteux autoproclamés savants». Si cette nomination tenait davantage d’une manœuvre politique pour soutenir son action de terrain que d’un véritable vote en faveur des réussites de terrain d’Ekhart dont l’Amiral a porté à son seul crédit, Ekhart profiterait de son nouveau statut pour se faire de précieux alliés et concrétiser ses nouveaux desseins. Toutes ces années à œuvrer pour la gloire d’Epistopoli finissait par tôt ou tard par donner des idées de grandeur aux officiers les plus zélés à lorgner le poste de commandeur suprême des armées. Dans l’ombre, l’opportuniste nouvel intendant des armées du Renon attendrait lui aussi patiemment son heure.
Ici, au plus près des rouages de la grande machine épistote dans le smog perpétuel du Renon, il assura d’abord la protection des puits d’hydrocarbures et des contremaîtres chargés de leur exploitation. Il succéda à un officier réformé qui fut rapatrié à Epistopoli après avoir perdu l’usage de ses jambes suite à l’explosion préméditée d’une galerie par l’ennemi. Ekhart, lui, s'assura de ne pas être aussi permissif que son prédécesseur avec les rebelles. Cette terre inhospitalière marqué de stigmates si profonds qu’elle saigne son or noir sans discontinuer depuis quarante ans, lui donnait tout le loisir de mettre en pratique et sans retenue les mesures auxquels il devait se refuser dans la métropole. L’Aramilan est une espèce fourbe et complexe à appréhender, un spécimen rusé qui a le don de s’immiscer au plus près pour frapper mortellement avant de regagner les ombres pour ourdir son prochain forfait. Si l’officier ne pouvait faire usage de moyens de grande envergure pour endiguer la peste jaune, Ekhart employa toutes les stratégies les plus viles pour compromettre les velléités des plus rétifs au maintien de la suprématie épistote. Intimidation, torture, empoisonnement, amputation, l’officier ne fit aucun compromis pour museler ce parasite bien trop encombrant pour en tolérer son mal de reconnaissance.
Au fil des années, il s’illustra comme l’instigateur de coups d'éclats fameux et contribua à installer le spectre d’une répression qui ne s’embarrassa nullement ou presque du soin des apparences. Il réorganisa les contingents de sorte à créer des forces mobiles d’intervention, privilégiant la rapidité à la puissance de feu pour entraver les opérations de guérilla menés par les réunionistes. Il est aussi à porter à son crédit la création d’équipes tactiques de sentinelles accompagnées d’automates à même de déchaîner les enfers dans les tunnels souterrains où la lie partisane aime se terrer pour fomenter ses attentats. L’audace faisant, l’ambitieux sous-officier prit du gallon pour devenir un haut-gradé éminent au visage connu et identifié par le mouvement séditieux mais guère plus qu'un nom sur une liste qui en comprenait sans doute des dizaines pour pouvoir prétendre au titre d’Amiral un jour lointain.
Fort de ses succès, Ekhart prit une nouvelle dimension lorsqu’il écopa du poste ô combien influent de commissaire aux affaires locales en réaction aux premières échauffourées des évènements de ce qui allait devenir la tristement célèbre résurgence réunioniste. Un rôle politique de premier plan pour faire passer ses idées au plus près des émissaires et relais d’influence à même de mettre en œuvre et sans heurt les décisions régaliennes de la capitale. Sur cet échiquier, Ekhart fit prendre à l’archevêque du Renon une place toute particulière dans le déploiement de la politique épistote. Il fit asseoir la primauté de l'autorité de l’ecclésiastique auprès de ses ouailles captives tout en lui donnant les moyens et l’envergure illusoire de jouer un rôle de premier plan sur la scène locale. Acteur et complice de la politique coloniale, il devient l’une des principales têtes de pont de la diplomatie épistote, s’imposant comme l’un des tout interlocuteurs primordiaux à même d’améliorer la sécurité et les conditions d’existence des aramilans au quotidien. Au vu de son passif d’exactions, Ekhart privilégia l’effacement et pilota en sous-main la politique intérieure de ce territoire en placant l’archevêque sous la lumière des projecteurs. Bien conscient que la manœuvre pouvait à terme virer au jeu de dupes à mesure que le religieux prendrait une place trop importante, il fit étroitement surveiller le pontife de sorte à brider ses marges de manœuvre. Garant des organes politiques et médiatiques, le commissaire aux affaires locales pouvait d’un trait de plume et sans aucune forme de procès envoyer au gibet tout élément indolent et perturbateur.
La précarisation récente de la situation d’Epistopoli sur la scène internationale obligea l’Amiral à revoir ses priorités afin de palier à la crise diplomatique consécutive à la disparition du Régent dans des circonstances troubles. De fait, le commissaire aux affaires du Renon, véritable trait d’union entre les instances locales et l’Amiral lui-même, se vit octroyer encore plus d’attributions dans la gestion du Renon alors même que l’enclave était aux prises avec une recrudescence d’actes terroristes disparates perpétrées contre le gouvernorat local. Cette menace persistante mais surtout l’incapacité du chef d’État Major à mater les exactions infâmes de cette frange séditieuse qui avait pris racine dans le naphte du Renon depuis presque une dizaine d’années, commençait à saper durablement l’influence et la réputation de l’officier auprès du comité d’Instruction. Comment une nation capable de produire des zeppelins et des armes de destruction massives de manière industrielle pouvait t’elle décemment buter contre une bande de va-nu pieds téméraires armés de seuls fusils ? Si L’Amiral ne se faisait aucune illusion quant aux complicités intestines que ces rebuts de la pire espèce aient pu bénéficier pour mener à bien leurs actions ciblées, il demeurait complexe de traduire les coupables et leurs familles devant une cour martiale pour les envoyer à la potence.
Elu membre à part entière du comité d’instruction depuis les prémices de la résurgence réunioniste, l’officier rend compte de la situation géopolitique du Renon pour le compte de l’Amiral qui a bien d’autres chats à fouetter que de « trôner au conseil d’un parterre d’hypocrites vaniteux autoproclamés savants». Si cette nomination tenait davantage d’une manœuvre politique pour soutenir son action de terrain que d’un véritable vote en faveur des réussites de terrain d’Ekhart dont l’Amiral a porté à son seul crédit, Ekhart profiterait de son nouveau statut pour se faire de précieux alliés et concrétiser ses nouveaux desseins. Toutes ces années à œuvrer pour la gloire d’Epistopoli finissait par tôt ou tard par donner des idées de grandeur aux officiers les plus zélés à lorgner le poste de commandeur suprême des armées. Dans l’ombre, l’opportuniste nouvel intendant des armées du Renon attendrait lui aussi patiemment son heure.
Un autre fils de Sancta, lui aussiIl/Elpesto/Elpiston
Plutôt dispo le soir, un peu long à répondre mais je ferai le maximum
Dernière édition par Ekhart Faypher le Sam 9 Nov - 12:50, édité 28 fois